Mardi 23 février 2016, départ tôt le matin, en train, direction Lisieux. Le responsable de la galerie du lycée Paul Cornu, Jean-Paul Bougault, est venu me chercher à la gare, qui est assez éloignée du lycée. Sur place, je découvre mes œuvres, bien ré-emballées par Marie-Dominique Ledanois d'Avranches (merci, Marie-Dominique !) et qui sont arrivées le matin même.
Les œuvres de Charlotte Massip sont encore sur place, et je commence à déballer tandis que M. Bougault remballe les gravures. À onze heures, toutes les toiles sont installées, suspendues aux cimaises. Comme il est impossible de faire des trous dans les murs, j'ai préparé un système ad-hoc, avec des crochets d'acier (des morceaux de méplats pliés en U, en fait) que j'accroche sur le montant inférieur du chassis, au dos de la toile. J'y ai attaché de petites longueurs de fil de pêche, avec un autre crochet façonné avec du fil de fer épais à l'extrémité. Il y a un effet de bord, cependant : je suis obligé de suspendre les cartels numériques centrés par rapport à la toile à laquelle il correspondent. Je ne suis pas fan, mais ce n'est pas non plus dramatique.
Je présente mon travail à une première classe de seconde, un peu timide, avant le vernissage qui a lieu en comité fort restreint. Après le repas, j'interviens à nouveau auprès de trois autres classes, jusqu'à 17h, où il faut reprendre le train pour Paris.
Quelques photos :
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