Voilà, Avranches, c’est fait !
Je suis arrivé lundi 11 janvier en fin d’après-midi après 4h30 de route, et j’ai monté la totalité des œuvres de la série Nothing but flowers ; on m’a logé dans un grand appartement de plusieurs pièces, toutes parfaitement vides à l’exception d’un lit étroit dans chaque pièce. Mais il y avait des draps et une douche, c’est l’essentiel.
J’ai commencé mardi matin par faire des interventions auprès des classes, le vernissage a eu lieu à midi, et puis à 14h, après un repas tardif à la cantine désertée en compagnie de la responsable de la galerie, Marie-Dominique Ledanois, j’ai eu une heure et demie de libre pour un peu visiter la ville. Coup de chance, les trombes d’eau qui tombaient sans discontinuer depuis la veille se sont arrêtées à peu près à ce moment-là, et j’ai pu observer depuis le jardin des plantes locales une vue splendide sur la baie du Mont Saint-Michel, qui n’est qu’à douze kilomètres de distance et transparaissait, diaphane, dans l’atmosphère luminescente que laissaient derrière elles en fuyant vers la gauche les masses nuageuses et leurs rideaux de pluie.
De retour au collège, j’ai fait une dernière intervention auprès d’une classe, et je suis reparti le lendemain matin avant l’aube en direction de Paris.
Quelques vues de l'expo :
Quelques vues de l'expo :
De gauche à droite, les « Nothing but Flowers » #5, #6, #7, #9 et #10. |
De gauche à droite, les « Nothing but Flowers » #9, #10, #11 et #1. |
De gauche à droite, les « Nothing but Flowers » #1, #2, #3 et #4. |
|
|
À l'heure où je finis cette entrée, l'expo est terminée, et a probablement déjà rejoint le lycée Paul Cornu à Lisieux, où j'exposerai à la suite de Charlotte Massip. Je pars accrocher le 23 février, vernissage le même jour.
J'ai été très heureux de pouvoir parler avec les élèves du lycée Littré, qui étaient très sympathiques et ont posé toutes sortes de questions pertinentes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire